Les passages entre guillemets sont des citations exactes, le
reste est une synthèse personnelle.
Samedi 25 mars 2023
Le commencement
"Il s'est produit pendant le Covid des événements importants.
Ils nous donnent la chance de comprendre le tissus de
mensonges dans lequel nous étions empêtrés." (p29)
Nous savons maintenant que les traitements précoces ont été
interdits suite à une fausse étude publiée dans le Lancet et
retirée 3 mois plus tard. Interdire un médicament connu et
maîtrisé sans aucune raison scientifique, cela ne peut pas être
une décision de santé publique. Interdire aux médecins de le
prescrire, c'est une ingérence dans la responsabilité des
médecins et un abus de pouvoir inédit dans l'histoire de la
médecine.
"Mais pourquoi ? Pourquoi diable cette étude bidon a-t-elle
été écrite ? Quelle est la seule explication convaincante
[...] ? Il s'agissait à l'évidence, « quoi qu'il en coûte »,
qu'il ne puisse pas y avoir de concurrence à un médicament
flambant neuf [...]" (p30)
Neuf et lucratif : le vaccin ARN-messager ! Bien que sur le
terrain on savait que ces traitements précoces étaient efficaces
contre le Covid et sans danger pour les patients, la censure
internationale a fait taire les courageux qui voulaient dire
l'évidence, même s'ils avaient des preuves scientifiques
indiscutables.
Le plus troublant, c'est que ce n'est pas qu'une question
d'argent et de pouvoir. C'est aussi et surtout une idéologie
toxique et fanatique qui est à l'origine de la crise du Covid.
Le transhumanisme
Cette idéologie promeut un monde nouveau où l'homme serait
"augmenté", par la génétique et les technologies informatiques.
Elle a comme fondement la volonté de sortir de l'imperfection.
Depuis la révolution industrielle on cherche à éliminer
l'imperfection, la production en série est de plus en plus
parfaite, toute les brioches sont identiques, toutes les
voitures sont identiques, etc. Et cela ne peut advenir que si
nous retirons l'humain de la chaîne de production.
"En somme, il s'agit d'asservir l'individu, et le groupe, à
une religion technophile totalitaire. Son indiscutable
puissance de séduction eugéniste* bourgeoise tourne la tête à
nos élites. Puisqu'il est pour eux l'outil même de
conservation du pouvoir. [...] Il faut faire tabula rasa,
casser les Tables de la Loi. Il faut « déconstruire » le
passé. Il faut enfin se libérer des carcans d'un réel trop
étroit. [...] Le nouveau surhomme transhumaniste adviendra
sans effort grâce à la production et l'utilisation
industrielles d'artefacts connexionnistes. Voilà la prophétie
!". (p32-33)
(* eugénisme : Ensemble des recherches et des pratiques qui ont
pour but de déterminer les conditions les plus favorables à la
procréation de sujets "sains" et, par là même, d'améliorer la
race humaine. CNRTL.)
Il faut se débarrasser de "l'erreur humaine". Fini l'artisan
ébéniste, boulanger, cuisinier, ils ne font que des meubles
imparfaits, des pains tous différents, des plats pas toujours
réussis. Fini les médecins qui soignent en leur âme et
conscience, on peut les remplacer par un protocole informatique
qui connaît la santé mieux qu'eux. A la tête de cette religion,
Laurent Alexandre, Jacques Attali, Yuval Harari, Klaus Schwab,
Bill Gates.
Pour cela il faut une rupture.
La disruption
Une division, une séparation brusque et violente, une fracture,
un deuil.
"L'exemple habituel est celui de Uber, pour le monde des
taxis. L'utilisation des technologies de l'interconnexion et
de la communication ont permis à Uber de devenir le plus grand
opérateur de taxis du monde... sans posséder un seul véhicule.
Les règles explicites qui structuraient l'organisation
collective des taxis se sont trouvées obsolètes. Uber a établi
un état de fait dérégulé." (p41)
La disruption consiste à chercher la faille d'un système en vue
d'en tirer le meilleur profit et d'effondrer les régulations
traditionnelles de ce système. Et la disruption s'applique aussi
sur nos institutions, les multinationales partent à la conquête
des pouvoirs. L'horizon est celui d'un système totalitaire.