Cette lettre exceptionnelle est une
retranscription exacte de la vidéo du docteur David Martin,
médecin aux USA, spécialiste du dépôt de brevets, lors du
"Internation Covid Summit" au parlement européen en mai 2023 :
C'est particulièrement intéressant pour moi de siéger ici
aujourd'hui, étant donné qu'il y a plus d'une décennie, j'étais
assis dans ce même fauteuil, ici même au parlement européen. A
l'époque, j'avais alerté le monde sur ce qui se préparait.
Au cours de cette conversation organisée à l'époque par les
Verts, L'ALE (Alliance Libre Européenne) et d'autre partis de
l'Union Européenne, diverses représentations, nous avions
discuté de la question de savoir si l'Europe devait adopter la
politique des Etats Unis qui consiste à autoriser les brevets
sur les matériaux d'origine biologique.
Et à l'époque, j'ai exhorté cette institution, et j'ai exhorté
les gens du monde entier, à réaliser que la militarisation de la
nature contre l'humanité avait des conséquences désastreuses.
Tragiquement je suis assis ici aujourd'hui, avec cette phrase
malheureuse que je n'aime pas dire, à savoir "je vous l'avais
dit". Mais le fait est que nous ne sommes pas ici pour nous
venger de décisions passées, nous sommes ici pour, une fois de
plus, faire face à la condition humaine et poser la question :
"Qui voulons-nous être ?" "A quoi voulons-nous que l'humanité
ressemble ?"
Et plutôt que de voir cela comme un exercice futile, ce qui est
très facile de temps en temps, lorsque vous êtes dans ma
position, je ne vois pas cela comme un exercice futile. Je vois
cela comme l'une des plus grandes opportunités qui s'offrent à
nous, parce que nous avons maintenant une conversation publique
qui est maintenant au premier plan dans l'esprit de gens, alors
que c'était une conversation ésotérique sur les brevets
biologiques dont tout le monde se fichait.
Mais lorsque cette conversation est entrée dans les maisons,
c'est devenu quelque chose dont les gens peuvent se préoccuper.
Je suis donc très reconnaissant pour cette opportunité. Je
remercie les membres du parlement d'avoir accueilli cet
événement. Je remercie tous les traducteurs, je m'en excuse à
l'avance, je vais utiliser des termes probablement très
difficiles à traduire. Je vous prie donc de m'excuser.
Mon
implication
Je voudrais également souligner que beaucoup d'entre vous sont
au courant de mon implication dans cette affaire, en grande
partie grâce au travail extraordinaire de ma merveilleuse
épouse, Kim Martin, qui m'a encouragé, dès les premiers jours de
cette pandémie, à passer devant les caméras et à parler de
toutes les informations que j'avais partagées avec de très
petits groupes, dans le monde entier. Et c'est en fait son
encouragement qui m'a mis dans une position où beaucoup d'entre
vous ont entendu ce que j'ai à dire.
Ironiquement, le monde d'où je venais qui était très populaire -
mes représentations sur CNBC et Bloomberg étaient télévisées par
les médias grand public dans le monde entier - est un public que
j'ai perdu. Je peux dire en toute confiance que le Covid a
diminué ma notoriété.
Mais je peux aussi dire en toute confiance que je préfère être
parmi les personnes avec lesquelles je suis aujourd'hui, que
n'importe laquelle des personnes qui faisaient partie de ce
monde d'avant.
C'est un lieu bien meilleur où se trouver.
Le début de l'histoire
Mon rôle aujourd'hui est de préparer le terrain pour cette
conversation dans un contexte historique, car cela ne s'est pas
produit au cours des 3 dernières années. Cela ne date pas des 5
dernières années. Il s'agit en fait d'une question permanente
qui a probablement commencé, ici en Europe, au début du milieu
des années 1900, mais il est certain que dès 1913-1914, cette
conversation a commencé, ici même, en Europe centrale.
La pandémie, que nous croyons être survenue ces dernières
années, ne s'est pas non-plus produite du jour au lendemain. En
fait une pandémie très spécifique utilisant le coronavirus a
commencé à une époque bien différente.
La plupart d'entre vous ne savent pas que le coronavirus, en
tant que modèle d'agent pathogène, a été isolé en 1965. Le
coronavirus a été identifié en 1965 comme le premier modèle
viral réplicable infectieux pouvant être utilisé pour modifier
une série d'autres éléments de la condition humaine. Il a été
isolé à une époque où il était associé au simple rhume.
Mais ce qui est particulièrement intéressant au sujet de son
isolation en 1965, c'est qu'il a été immédiatement identifié
comme un agent pathogène pouvant être utilisé et modifié pour
toute une série d'objectifs. Et vous m'avez bien entendu.
C'était en 1965.
Soit dit en passant ces diapositives sont du domaine public.
Vous pouvez consulter chaque référence. Tous les commentaires
que j'ai fait sont basés sur des documents publiés. Veillez à
consulter ces références.
En 1966, le tout premier COV, modèle de coronavirus, a été
utilisé dans le cadre d'une expérience biologique
transatlantique de manipulation humaine. Vous avez entendu la
date. 1966. J'espère que vous comprenez ce que je veux dire.
Cela ne s'est pas fait du jour au lendemain. Il s'agit d'un
événement préparé depuis longtemps.
Un an avant ma naissance, nous avons eu la première expérience
transatlantique d'échange de données sur le coronavirus entre
les Etats Unis et le Royaume Uni. Et en 1967, l'année de ma
naissance, nous avons réalisé les premiers essais d'inoculation
de coronavirus modifiés à des êtres humains.
N'est-ce pas incroyable ? Il y a 56 ans ! Le succès du jour au
lendemain, d'un agent pathogène, dont l'ingénierie a duré 56
ans. Je vous invite à cogiter là-dessus. Où étions-nous lorsque
nous avons autorisé, en violation des traités sur les armes
biologiques et chimiques, où étions-nous ? En tant que
civilisation humaine ? Quand nous pensions qu'il était
acceptable de prélever des agents pathogènes des Etats Unis et
d'en infecter le monde entier ? Où en était cette réflexion ? Et
qu'aurait dû être cette discussion... en 1967 ? Cette discussion
n'a pas eu lieu.
Les essais sur les
animaux
Ironiquement, le rhume a été transformé en chimère, dans les
années 1970. En 1975, 1976 et 1977, nous avons commencé à
chercher comment modifier le coronavirus en l'introduisant dans
différents animaux, les porcs, les chiens. Et sans surprise, en
1990, nous avons découvert que le coronavirus, en tant qu'agent
infectieux, était un problème industriel pour principalement 2
industries : les industries du chien et du porc. Les éleveurs de
chiens et de porcs ont constaté que le coronavirus provoquait
des problèmes gastro-intestinaux. C'est sur cette base que
Pfizer a déposé le brevet du premier vaccin, à base de protéines
Spike, êtes-vous prêt à entendre, en 1990 !
Le
premier brevet
Avez-vous entendu ce que je viens de dire ? 1990. Opération
"Warp Speed" (vitesse grand V), je suis désolé... où est la
pression et la vitesse ? Pfizer 1990, le tout premier vaccin à
base de protéine spike contre le coronavirus.
N'est-ce pas fascinant ? N'est-ce pas fascinant que l'on nous
ait dit que la protéine skipe était une nouveauté et que nous
venions de découvrir que c'était là le problème ? Non ! En fait
nous n'avons pas découvert le problème maintenant, nous l'avons
découvert en 1990 et nous avons déposé le premier brevet sur les
vaccins en 1990, contre la protéine spike du coronavirus.
Et qui l'aurait cru ? Pfizer ?! La compagnie innocente qui ne
fait rien d'autre que promouvoir la santé humaine, c'est
évident. Pfizer c'est clair. La compagnie qui n'a pas acheté les
votes de cette assemblée et de toutes les assemblées de tous les
gouvernements du monde. Pas ce Pfizer là. Ils n'ont certainement
rien à voir avec cela. Oh si, ils y sont pour quelque chose !
Ca ne fonctionne
pas
Et en 1990, ils ont découvert qu'il y avait un problème avec les
vaccins. Ils ne fonctionnaient pas. Savez-vous pourquoi ils ne
fonctionnaient pas ? Il s'avère que le coronavirus est un modèle
très malléable, qui se transforme, change et mute au fil du
temps. Et, toutes les publications sur les vaccins contre le
coronavirus, de 1990 à 2018, absolument chaque publication a
conclu que le coronavirus échappe à la stimulation vaccinale,
parce qu'il se modifie et mute trop rapidement pour que les
vaccins soient efficaces.
Et depuis 1990 jusqu'à 2018, c'est la science qui a été publiée,
mesdames et messieurs. C'est ce qu'on appelle la SCIENCE. Suivre
la science, c'est leur propre mise en accusation de leurs
propres programmes qui disaient que ça ne marchait pas. Et il
existe des milliers de publications à ce sujet, pas quelques
centaines, et qui ne sont pas payées par des sociétés
pharmaceutiques.
Il s'agit de publications issues de recherches scientifiques
indépendantes qui montrent, sans équivoque, y compris les
efforts de modification des chimères, réalisés par Ralph Baric à
l'université de Coroline du Nord à Chapel Hill, toutes montrent
que les vaccins ne sont pas efficaces contre le coronavirus.
C'est la science qui le dit. Et cette science n'a jamais été
contestée.
Une arme
Cependant, une évolution intéressante s'est produite en 2002.
Cette date est très importante. En effet, en 2002, l'université
de Caroline du Nord, à Chapel Hill, a breveté, je cite : "un
clone infectieux de coronavirus dont la réplication est
défectueuse". Ecoutes ces mots : "infectieux de coronavirus dont
la réplication est défectueuse". Que signifie cette phrase ?
Pour ceux d'entre vous qui ne sont pas familiers avec ce
"langage", permettez-mois de vous le décrypter. Le terme
"infectieux à réplication défectueuse" signifie qu'il s'agit
d'une arme. Il s'agit d'une arme destinée à cibler un individu
sans causer de dommages collatéraux à d'autres individus. C'est
ce que signifie "infectieux à réplication défectueuse".
Et ce brevet a été déposé en 2002, sur la base de travaux
financés par le NIAID et Anthony Fauci (Institut national des
allergies et maladies infectieuses), de 1999 à 2002. Ces travaux
brevetés en Caroline du Nord, à Chapel Hill, ont mystérieusement
précédé d'un an le SRAS 1.0.
Une création
humaine
Dave es-tu en train de suggérer que le SRAS 1.0 ne provenait pas
d'un marché clandestin de Wuhan ? Suggérez-vous qu'il pourrait
provenir d'un laboratoire de l'université de Caroline du Nord, à
Chapel Hill ? Non je ne suggère rien, je vous dis que ce sont
les faits.
Nous avons fabriqué le SRAS. Le SRAS n'est pas un phénomène
naturel. Le phénomène naturel s'appelle rhume. Il s'agit d'une
maladie de type grippal. Il s'agit de la gastro-entérite. C'est
le coronavirus naturel.
SRAS est le résultat d'une recherche menée par des humains qui
ont utilisé un modèle de système de vie pour s'attaquer à des
êtres humains. Et ils l'ont breveté en 2002.
Violation des
traités
En 2003, la surprise est de taille, le CDC a breveté le
coronavirus humain, en violation, une fois de plus, des traités
et des lois sur les armes biologiques et chimiques en vigueur
aux Etats Unis. Je suis très précis sur ce point.
Les Etats Unis aiment parler de leur droit et de tout le reste,
de l'Etat de droit et de toutes les absurdités dont nous aimons
parler. Mais nous ne ratifions pas de traités concernant, je ne
sais pas, la défense des êtres humains ? Nous évitons
ostensiblement de le faire. En fait nous avons l'habitude de
défendre les droits de l'homme, puis de les nier lorsqu'il
s'agit de faire partie de la communauté internationale, ce qui
est légèrement problématique.
Mais soyons clairs : lorsque le CDC a déposé le brevet, en avril
2003, sur le modèle de coronavirus SRAS isolé chez l'homme,
qu'ont-ils fait ? Ils ont téléchargé une séquence provenant de
Chine et ont déposé un brevet sur cette séquence aux Etats Unis.
Tous ceux qui connaissent les traités sur les armes biologiques
et chimiques savent qu'il s'agit d'une violation. C'est un
crime.
Il ne s'agit pas d'une erreur innocente. C'est un crime.
L'office américain des brevets est allé jusqu'à rejeter cette
demande de brevet à deux reprise, jusqu'à ce que les CDC
décident de corrompre l'office des brevets pour qu'il passe
outre l'examinateur de brevets et délivre finalement le brevet
en 2007 sur le coronavirus SRAS.
Ne perdons pas cela de vue, car il est apparu que la RT-PCR, qui
était le test que nous allions, prétendument, utiliser pour
identifier le risque associé au coronavirus, a en fait été
identifié comme un acte de bioterrorisme, par moi, lors des
événements parrainés par l'Union européenne, en 2002 et 2003. Il
y a 20 ans. Cela s'est passé, ici à Bruxelles et dans toute
l'Europe.
Bio
Terrorisme
En 2005, ce pathogène particulier, a été spécifiquement qualifié
de plateforme technologique pour le bio-terrorisme et les armes
biologiques. Il a été désigné comme tel, ce n'est pas ma
terminologie que j'utilise. Il a été écrit comme une plateforme
de technologie d'armes biologiques, en 2005.
Et à partir de 2005, il s'agissait d'un agent permettant de
mener une guerre biologique. C'est la classification officielle
depuis 2005. Je ne sais pas si cela ressemble à de la santé
publique pour vous ? Est-ce le cas ? "Technologie permettant la
guerre biologique..." Cela ne ressemble pas à de la santé
publique. Cela ne ressemble pas à de la médecine.
Cela fait penser à une arme conçue pour éliminer l'humanité.
C'est ce que l'on comprend. Et cela ressemble à cela parce que
c'est exactement ce que c'est.
Censure et
manipulation
On nous a fait croire que Eco Health Alliance (Alliance Eco
Santé), le DARPA et toutes ces organisations sont ce que nous
devrions surveiller, mais on nous a spécifiquement demandé
d'ignorer les faits, à savoir que plus de dix milliards de
dollars ont été acheminés par le biais d'opérations secrètes,
grâce au chèque d'Anthony Fauci, et à un registre comptable
parallèle, dans lequel le NIAID présente un bilan, et à côté, il
y a bilan de bio-défense, équivalent dollar pour dollar, dont
personne dans les médias ne parle. Et cela dure depuis 2005.
Notre moratoire sur le gain de fonction - le moratoire qui était
censé geler tout effort de recherche sur le gain de fonction -
comme par hasard, à l'automne 2014, l'université de Caroline du
Nord, Chapel Hill, a reçu une lettre du NIAID, disant que le
moratoire sur le gain de fonction sur le coronavirus in vivo
devrait être suspendu. Mais comme leurs subventions avaient déjà
été financées, ils ont reçu une exemption.
Avez-vous entendu ce que je viens de dire ? Un laboratoire
d'armes biologiques de l'université de Caroline du Nord, à
Chapel Hill, a bénéficié d'une dérogation au moratoire sur le
gain de fonction, de sorte qu'en 2016, il a été possible de
publier un article indiquant que le SRAS coronavirus était prêt
à émerger chez l'homme. En 2016.
Et puis quoi ? - vous demanderez peut-être - Le coronavirus
était-il prêt à émerger chez l'homme, Dave ? C'était le WIV1 :
Wuhan Institute of Virology Virus 1 (virus de l'institut de
virologie de Wuhan). Prêt à émerger chez l'homme en 2016, dans
le cadre des travaux de l'académie nationale des sciences.
Faire
un vaccin pour une maladie qui
n'existe pas
Si bien qu'arrivant à 2017 et 2018, la phrase suivante est
entrée dans le langage courant de la communauté : "Il va y avoir
une libération accidentelle ou intentionnelle d'un pathogène
respiratoire". Le mot clé de cette phrase est évidemment
"libération".
Cela ressemble-t-il à une fuite ? Est-ce que cela ressemble à
une chauve-souris et à un pangolin qui seraient entrés dans un
bar du marché de Wuhan, auraient traîné ensemble, eu des
relations sexuelles, et voilà que nous aurions le SRAS COV 2 ?
Non !
Le terme "libération accidentelle ou intentionnelle d'un agent
pathogène respiratoire" a été utilisé quatre fois en avril 2019.
Sept mois avant le soi-disant patient numéro un, quatre demandes
de brevets de Moderna ont été modifiées pour inclure
l'expression "libération accidentelle ou intentionnelle d'un
agent pathogène respiratoire" , afin de justifier la fabrication
d'un vaccin pour une chose qui n'existait pas.
Si vous ne l'avez pas encore fait, veuillez à ce que chaque
enquête fasse référence à la nature préméditée de cette affaire,
car c'est en septembre 2019 que le monde a été informé que nous
allions avoir une libération accidentelle ou intentionnelle d'un
agent pathogène respiratoire, de sorte qu'en septembre 2020, il
y aurait une acceptation mondiale d'un modèle de vaccin
universel.
Ce sont leurs mots, juste devant vous, à l'écran. L'objectif
était d'amener le monde à accepter un modèle de vaccin universel
et d'utiliser le coronavirus pour y parvenir.
Lisons ceci, car nous devons le lire partout où je vais. "En
attendant qu'une crise des maladies infectieuses soit réellement
présente, et au seuil d'urgence qui est souvent largement
ignoré, pour maintenir la base de financement au-delà de la
crise, nous devons mieux faire comprendre au public la nécessité
de contre-mesures médicales, telles qu'un vaccin universel
contre la grippe ou le coronavirus. Les médias sont un moteur
essentiel, et l'économie suivra le battage médiatique. Nous
devons utiliser ce battage médiatique à notre avantage pour nous
attaquer aux vrais problèmes. Les investisseurs suivront s'ils
voient le bénéfice à la fin du processus."
Cela ressemble-t-il à de la santé publique ? Cela ressemble-t-il
au meilleur de l'humanité ? Non mesdames et messieurs, il s'agit
d'un terrorisme domestique prémédité déclaré dans les actes de
l'Académie nationale des sciences en 2015, publiés devant eux.
Il s'agit d'un acte de guerre biologique et chimique, perpétré
contre la race humaine et il a été admis, par écrit, qu'ils
s'agissait d'un hold-up financier et d'une fraude financière.
"Les investisseurs suivront s'ils voient le bénéfice à la fin du
processus".
Conclusion
Permettez-moi de conclure en formulant cinq recommandations très
brèves.
La nature a été piratée. Toute cette histoire a commencé en 1965
lorsque nous avons décidé de détourner un modèle naturel et de
commencer à le manipuler.
La science a été piratée. Les seules questions qui pouvaient
être posées étaient des questions autorisées sous la protection
des brevets des CDC, de la FDA, du NIH et de leurs organisations
équivalentes dans le monde entier. Nous ne disposons pas d'une
science indépendante, mais d'une science détournée. Et
malheureusement, il n'y a pas eu de contrôle moral, en violation
de tous les codes que nous défendons. Aucun comité d'examen
indépendant, financièrement désintéressé, n'a jamais été mis en
place autour du coronavirus. Pas un seul. Pas depuis 1965. Aucun
IRB (commission de revue institutionnelle) indépendant n'a
jamais été mis en place sur le coronavirus.
La moralité a donc été exclue des contre-mesures médicales, et
en fin de compte, l'humanité a été perdue parce que nous avons
décidé de permettre que cela se produise.
Notre tâche aujourd'hui est de dire : Fini les recherches sur le
gain de fonction, un point c'est tout. Fini la militarisation de
la nature, un point c'est tout. Et surtout, plus de mécénat de
la science par des entreprises dans leur propre intérêt, à moins
qu'elles n'assument à 100% la responsabilité du produit pour
chaque effet secondaire et chaque décès qu'elles provoquent.