Dans cette lettre vous trouverez quelques
éléments tirés du livre "Les apprentis sorciers. Tout ce que
l'on vous cache sur l'ARN messager", d'Alexandra Henrion Caude,
Ed. Albin Michel / Versilio 2023. Quelques citations exactes
sont entre guillemets, le reste est une synthèse personnelle, en
espérant avoir été respectueux du discours original.
Avertissements:
Ce que vous lirez ici peut choquer
certaines personnes qui ne seraient pas correctement
informées. Pourtant, c'est la vérité prouvée par de
nombreuses sources scientifiques.
Une grande partie de ce que vous lirez
ici était connu des industries pharmaceutiques, des comités
scientifiques officiels, et de nos gouvernants, en mars
2020. Des documents issus de Pfizer le démontrent
clairement.
Asseyez-vous donc tranquillement dans un bon
fauteuil avant de commencer cette lecture, et préparez vos
mouchoirs 😁.
Introduction
Alexandra Henrion Caude est docteure en génétique. Elle a fait
un post-doctorat à la Harvard Medical School, puis elle a dirigé
pendant de nombreuses années la recherche à l'INSERM. Elle a
étudié pendant vingt cinq ans la génétique et sa relation avec
l'environnement. Ses travaux lui ont valu d'être invitée dans le
monde entier. Puis elle a centré son travail sur des solutions
peu coûteuses et simples à mettre en place, dont les résultats
ont été salués par la presse.
Pendant la crise du Covid, elle a osé dire ce que tout le monde
sait maintenant : les hommes sont responsables de l'apparition
du virus, les tests PCR ne sont pas sans risques, c'est une
folie de traiter une population saine etc. Alors la presse l'a
accusée d'être d'extrême droite, intégriste, sectaire,
complotiste. Tout cela est faux et n'a qu'un objectif, la
discréditer aux yeux du public, tout comme cela a été le cas de
nombreux scientifiques intègres et sans conflit d'intérêt.
Les
conséquences du vaccin à ARN messager
Lorsque le Covid a fait son apparition, le monde a été pris de
panique et la terre entière a espéré la solution qui nous
sauverait. Le vaccin a joué ce rôle, non pas de nous sauver,
mais de nous redonner un espoir. Et il semblerait que ce soit le
seul engagement qu'il ait tenu.
Lorsque l'OMS a recommandé aux Etats d'accélérer les recherches,
l'industrie pharmaceutique ne s'est pas faite attendre. Un
vaccin met d'habitude 20 ans pour être mis sur le marché, ici
quelques mois ont suffit.
Les responsables politiques et médiatiques ont alors répété un
mantra : Le vaccin est notre seule espoir, ne pas se vacciner
c'est mourir ou faire mourir les autres. Le vaccin est sûr et
efficace.
"Est-ce que le vaccin a stoppé l'épidémie ? Non. Est ce que
le vaccin empêche d'attraper le Covid ? Non. Est-ce que le
vaccin empêche d'infecter les autres ? Non. Est-ce que le
vaccin empêche de mourir du Covid ? Non." (p15)
Ironiquement, on ne compte plus les chefs d'Etat qui ont attrapé
le Covid malgré la vaccination : Andrej Duda en Pologne, Andrés
Manuel Lopez Obrador au Mexique, Le roi Charles d'Angleterre, le
prince Albert de Monaco, Justin Trudeau au Canada, Lula au
Brésil, Joe Biden aux USA etc.
"En Israël, au Portugal et en Islande, c'est entre 60% et 75%
de la population qui est entièrement vaccinée. Et pourtant
c'est étonnamment dans ces pays que l'on recense le plus de
cas de Covid par million d'habitants." (p16)
Et face à Omicron le vaccin n'empêche pas l'hospitalisation,
autrement dit les formes graves.
"Nous apprenons [dans les études cliniques de Pfizer enfin
dévoilées] qu'en trois mois d'essais cliniques, environ 14
morts par jour ont été enregistrés par Pfizer, avec exactement
1223 décès et 158893 effets indésirables enregistrés entre le
1er décembre 2020 et le 28 février 2021." (p17)
Lorsqu'on analyse les base de pharmacovigilance du monde, on
observe à chaque fois un nombre extrêmement alarmant
d'événements indésirables et de décès. Et si l'on totalise un
nombre absolument renversant de 70 000 décès suite aux vaccins
anti-covid, n'oublions pas que ces chiffres représentent
seulement 5 à 10% de la réalité ! Les autres décès n'étant pas
déclarés comme liés au Covid.
"Dans la base du VAERS des Etats Unis, en date du 9 septembre
2022, si l'on ne regarde que les formes graves, on comptait
plus de 30 000 morts, 177 000 hospitalisations, 135 200
urgences, 10 000 chocs anaphylactiques, ainsi que près de 58
000 handicaps permanents, 52 000 myocardites, 34 000 mises en
danger de la vie, 44 700 réactions allergiques sévères, 16 000
crises cardiaques, près de 15 000 zonas, 9000 problèmes
plaquettaires de type thromboscytopénie et 5000 fausses
couches dans lesquels un lien avec les vaccins Covid est
incriminé" (p18)
Deux tiers des victimes sont des femmes. Une victime sur deux
est européenne. 40% des victimes sont des jeunes de 18 à 44 ans,
alors qu'ils ne risquaient rien du Covid. Des milliers de
publications scientifiques soutiennent ces effets graves et
ainsi que l'effondrement de l'immunité chez les vaccinés et un
risque majeur pour les plus vulnérables. Et les laboratoires le
savaient, c'est dans leurs résultats cliniques.
"Le 12 septembre 2022 est publiée une autre étude [menée par
des scientifiques de Harvard et de Johns-Hopkins], qui révèle
cette fois que le vaccin peut être plus dangereux que le virus
lui-même, jusqu'à 98 fois plus dangereux" (p21)
Voici la liste prioritaire des événements indésirables d'intérêt
particulier, produit par l'institut Brighton Collaboration
partenaire de l'OMS (p22) :
désordres hématologiques :
saignements, thromboses, trouble de la coagulation
"Ajoutons que le Danemark ne recommande plus la vaccination
pour les moins de 50 ans depuis le 13 septembre 2022. Que la
Suède ne recommande plus la vaccination des moins de 18 ans
depuis le 1er novembre 2022, tout comme le Royaume Uni depuis
début septembre 2022 pour les 12-15 ans". (p27) "[Une
circulaire officielle britannique d'août 2022] indique que la
vaccination des femmes enceintes n'est pas recommandée, ni
celles qui allaitent." (p103)
L'ARN, l'ADN, l'ARN messager et
l'épigénétique
Alexandra Henrion Caude explique de manière accessible ce que
sont les ADN, ARN et l'ARN messager, l'épigénétique, et quel est
l'intérêt pour la science et les êtres humains de les étudier.
Certains médicaments à base d'ARN sont aujourd'hui disponibles
pour guérir ou retarder des maladies comme certains troubles
oculaires, des problèmes liés au cholestérol, des maladies de
l'épine dorsale, des altération du système nerveux, du foie, du
pancréas, la myopathie, l'hémophilie. Ces médicaments peuvent
parfois coûter plus de 85 000 euros par flacon.
On a découvert l'ARN message dans les années 1960, mais il
faudra attendre 30 années avant que l'on envisage d'en injecter
à des humains. Robert Malone a commencé en 1989 sur les œufs de
crapaud pour produire une protéine particulière. D'autres dans
les souris, les rats, et en 2000 chez l'humain. Voici les
différentes expériences de soin par l'ARN message :
en 2000 : tentative pour soigner le
cancer de la prostate : échec
en 2005 : tentative pour soigner le
cancer de la peau : échec
en 2009 : tentative pour soigner le
cancer du poumon : échec
en 2009, 2016 et 2019: tentative pour
soigner le Sida : échec
en 2013 : tentative pour soigner la
rage : échec
en 2015 : tentative pour soigner le
cancer du cerveau : échec
en 2015 : tentative pour s'immuniser
contre la grippe aviaire : échec
en 2016 : tentative pour soigner
l'insuffisance cardiaque associée au diabète : échec
en 2016 : tentative pour s'immuniser
contre Zika : échec
en 2019 : tentative pour soigner le
cancer gastro-intestinal : échec
en 2020 : tentative pour s'immuniser
contre le virus VRS : aucune données publiée
"On nous a répété que les vaccins à ARN
messager étaient connus et utilisés depuis longtemps, or c'est
un mensonge." (p84)
Outre ces échecs, il faut aussi comparer le vaccin ARN messager
avec les vaccins traditionnels (p85-109):
on dit du vaccin ARNm qu'il "protège"
et non-plus qu'il "immunise" (modification de la définition
du vaccin par le CDC aux USA en septembre 2021)
contrairement aux virus désactivés des
vaccins classiques, les particules de graisse qui
transportent l'ARNm échappent au système immunitaire, il
faut attendre que les ARNm entrent dans les cellules, ce qui
impose un délai avant la réaction
les ARNm entrent dans nos cellules qui
produisent alors la protéine spike contre laquelle on veut
s'immuniser, ils modifient le comportement de nos propres
cellules
le virus est rendu inoffensif dans les
vaccins traditionnels, la protéine spike ne l'est pas dans
le vaccin ARNm, et peut provoquer de nombreux dégâts
du fait que nos propres cellules
produisent la spike, le système immunitaire s'attaque à nos
propres cellules ouvrant la porte à des maladies
auto-immunes
en juillet 2020 on a recensé plus de
15 000 variants du virus qui n'ont plus rien à voir avec la
spike qui est dans le vaccin, on fabrique donc des
anti-corps périmés contre un virus qui n'existe plus
la spike peut provoquer les mêmes
réactions que le virus lui-même, elle n'est pas atténuée,
elle est produite en masse par nous-même
la spike s'introduit partout dans le
corps et s'accumule
on ne sait pas quelle est la durée de
vie de l'ARNm dans les flacons
on ne sait pas quelle est la durée de
vie de l'ARNm dans notre corps
on sait que l'ARNm sort de notre
corps, par le lait maternel, les larmes, la sueur, la
salive, l'urine, le sperme etc.
"L'ARN vaccinal peut-il aussi intégrer notre génome, et donc
modifier notre descendance ? La réponse est oui !" (p110) "Par
ailleurs, la modification génétique peut se situer au niveau
épigénétique" (p110)
Big Pharma
On ne compte plus les milliards de dollars que les laboratoires
pharmaceutiques doivent payer pour avoir enfreint la loi. On ne
compte plus les millions de morts et de malades du fait des
médicaments qui n'ont pas été vérifiés correctement,
volontairement ou pas.
On a injecté des milliards de doses à des humains alors que le
vaccin n'était pas testé comme il se doit. On a menti au monde
entier en disant que le vaccin était testé correctement, sûr et
efficace.
En conséquence, les industriels comme Pfizer et Moderna ont
réalisé des bénéfices de plus de 1000 dollars par seconde en
2021, 34 milliards de dollars avant impôts.
Conclusion
"Maintenant que vous savez tout sur l'ARN, laisserez-vous
vacciner vos enfants ? Quand à vous, poursuivrez-vous votre
abonnement vaccinal ?" (p139)